Lidia, forever, para siempre
C'est une bien triste nouvelle qui me ramène sur ce blog mais comment ne pas honorer la mémoire de mon amie Lidia ? J'ai appris hier, très tard, son décès brutal dont on ignore la cause ; malaise ? Chute ? Le seul mot obtenu de l'hôpital fut celui-ci : " elle est à la morgue ". Elle devait venir en août chez moi, avait pris ses billets de train et se réjouissait déjà de découvrir Nantes. D'origine argentine, elle parlait parfaitement notre langue, ayant vécu finalement plus en Suisse et en France, à Montpellier. Je l'ai connue par l'intermédiaire de Maya, elle-même décédée brutalement au mois de décembre 2015. Et moi je reste là face à ce vide qu'est la mort, que nous connaissons tous un jour naturellement, en attendant qu'elle vienne nous faucher à notre tour, car celle-là porte bien son nom, la faucheuse. Voilà, et de deux, fauchées, d'un coup, au mois de juillet, Simone d'abord et puis, Lidia, là. Alors de nouveau, donner à lire les